Déontologie

Franchement c'est sur que ca devait etre beaucoup plus interessant avec mormont, rien qu'en lisant un résumé de son cours j'accroche bcp plus... y'a des exemples etc c'est bcp plus agréable...

On ne va pas conparer l'experience professionnel de Mormont à celle de Blavier... elle fait comme elle peut on va dire
(enfin je dis ca mais j'ai jamais été aux cours lol)

Voila un exemple sympa...


Exemple: Mr. Mormont soigne un exhibitionniste. Plusieurs années après la thérapie, Mormont lit dans le journal que son ancien client sait suicidé par le feu. Quelques jours après, il reçoit un coup de tel de la femme de son ex-client. Celle-ci lui explique que, s'étant suicidé, elle ne peut pas touché l'assurance vie de son mari et qu'elle doit se prostituer avec son voisin afin que sa fille puisse manger à sa faim. Elle demande à Mormont de rédiger une lettre afin d'obtenir l'assurance vie de son défunt mari. Mormont, respectueux du code de déontologie, refuse dans un premier temps mais après plusieurs coup de tel de l'avocat il accepte. En effet, si le suicide est inconscient, la femme peut toucher l'assurance vie. Cependant, cela ne règle rien car la société d'assurance dit alors que leur client a menti en rédigeant le contrat car il n'avait pas dit qu'il était malade.
C'est alors que Mormont est assigné au tribunal, il prête serment mais il a le droit de se retrancher derrière le secret professionnel. Mormont dit au juge que l’homme en question était son client mais que les raisons pour lesquelles il le traitait n’avait rien à voir avec des tendances suicidaires

Encore une petite ambiguité qui tue :

Dans le texte sur le secret prof. à lire p 13 : " "Cette règle interdit à un expert tenu au secret professionnel de faire des déclarations à la presse vennant confirmer, compléter ou simplement commenter son rapport ou les déclaratiens qu'ail aurait faites à l'audience.
=> pour résumer, il ne peut rien dire aux journalistes !?

Mais, secret professionnel Q 22 : l'expert mandaté par le juge peut intervenir tout en restant général dans ses propores

Elle a bien dit que l'expert pouvait intervenir en termes généraux auprès des médias... c'est d'ailleurs repris dans ses dias.

et egalement ds le code de deontologie; point 4.2.5

"Venant confirmer, compléter etc ce qui est dit à l'audiance", c'est-à-dire, ce qui est dit par rapport au cas débattu ! Cela, on ne peut pas !

On doit rester général dans le propos et dire "dans ce genre d'affaire, en général..."

Par rapport à l'avis, imaginons qu'un psy reçoive une demande d'une mère pour son avocat comme quoi l'enfant est bien venu en consultation (dans le cadre d'un divorce), peut-on lui remettre ?

il me semble qu'on peut remettre un avis de consultation à la demande du client..

Pas à l'avocat. C'est un magistrat qui doit demander ça. Enfin il me semble.

Et pour l'histoire de la presse, donner un avis général, c'est bien dire un truc du style (en parlant d'un tueur en série par exemple) : "Ce genre de personne n'a pas conscience de l'autre et blablabla" et ne pas aller dire "Enfait voyez-vous, mon client, monsieur X, l'accusé, n'a absolument pas conscience de l'autre et blablabla".

Pour moi, on peut remettre aux parents une attestation de consultation

oui si il le demandent, on le fait

Encore une petite dernière :
Selon l'article 458bis, on ne peut dénoncer quelqu'un que si on a personnellement entendu la plainte de la victime, donc si un pervers dit qu'il viole sa fille mais qu'il ne veut pas nous laisser lui parler, en théorie, on ne peut pas porter plainte?

normalement non, on ne peut pas portzer plainte pcq on a pas de preuves que c'est vrai (ne pas se baser sur simplement ce que la personne nous dit). Mnt, si c'est un violeur récidiviste, déja condamné,... la probabilité est grande que ce soit vrai ms on ne peut en tt cas pas prevenir la police avant d'avoir essayer d'autres moyens pour protégéer la victime.

Il est noté que les différentes conditions sont cumulatives, je ne comprends pas très bien ce que ça veut dire, mais selon moi, ce qui compte, c'est de réfléchir AU CAS PAR CAS, c'est-à-dire, évaluer la sévérité du danger, et pas nécessairement d'avoir entendu la victime.

Répondre à une demande d'avis concernant un tiers constitue une violation du secret professionnel. Mais dans le cas d'une simple attestation de venue, peut-on parler d'avis ?

Le parent est un tiers autorisé à demander un avis, mais pas l'avocat. Dès lors, quid si le parent demande une attestation de venue pour la remettre à son avocat ? Dire que l'enfant est bien venu, peut-on considérer que c'est prendre parti ?

Dans les dias sur l'expertise judiciaire il est ecrit que le consentement de l'expertisé n'est pas nécessaire et puis apres qu'il peut qd m refusé de se faire expertisé. S'il peut refusé c'est qu'il faut son consentement non?

La justice peut contraindre l'individu à se faire expertiser ou à suivre une thérapie. Mais le sujet peut manifester son non consentement et décider de se taire. Cela peut paraître paradoxal, mais il reste que l'individu risque des ennuis s'il ne coopère pas, dès lors, on peut quand même parler de contrainte. Enfin, il me semble.

pas vraiment, en fait, il ne faut pas son consentement dans le sens ou, quoi que le sujet fasse, un rapport sera remis au magistrat. Quand on dit que le sujet peut refuser, on ne lui demande pas vraiment son autorisation pr l'expertise, celle-ci est lancée ms le sujet peut très bien ne pas s'y présenter (c'est ds ce sens qu'il la refuse) ms ne pas venir aura des conséquences négatives pr lui car ce sera écrit ds le rapport du psy (le psy doit d'ailleut informer le sujet que s'il ne vient pas ce sera mauvais pr lui).

ah oki je vois la nuance, merci!

pr aurélie, conditions cumulatives je crois que ca veut dire qu'il faut remplir ttes les conditions.
Et l'attestation n'est pas un avis car un avis c'est une conclusion sur le fonctionnement psychologique d'une personne. Ceci dit l'attestation ne peut etre remise qu'au sujet et à sa demande (ou aux parents d'un enfant mineur) et non aux tiers ni à la demande de tiers (malgré qu'un sujet peut demandé une attestation de soins pr prouver a un tiers, son patron par exemple, qu'il est bien en consultation lorsqu'il s'absente du travail).

Ehhh ben, 22 pages de discussion pour un exam comme ça

J espere qu on va pas en avoir 250 pour neuro ou santé

Bonne continuation à tous!

Tu m'étonnes!
Espérons lol

Oui, bonne continuation à tous

par hasard personne n'a été à la séance de correction pour avoir les réponses aux vrai-faux?:p

Si moi j'y étais... Te souviens tu des questions?

je me souvient de qq questions. Sauriez vous me donner les réponses?

le secret professionnel s'applic aux mineurs?
la transmission des resultats d'une expé au sujets peut se faire par qqun d'autre que le chercheur qui a fait l'etude?
ya divulgation coupable sauf qd ca n'a pas nuit a la personne?
le secret professionnel doit etre maintenu mm si le patient en delie le psy?
la loi autorise, ms n'oblige pas le psy, a lever le secret professionnel lorsqu'il y a prestation sous serment devant un tribunal?

... si qqun se souvient des 3 autres.

Et sinon elle a dit les réponses pr les questions ouvertes?