Psychologie sociale (DARDENNE)

Pour la 8 j'aurais mis la 3 aussi
Je ne vois pas pourquoi le fait de n'avoir qu'une dimension y change quelque chose

mais je me trompe p-e!

Beh je me suis dit aprés coup (je me trompe aussi peut être ) mais si les traits centraux suffisent à donner l'impression générale grâce aux deux dimensions, comme c'est dit dans le cours, le fait qu'il n'y plus qu'une seule dimension ferait disparaître les traits centraux et donc la bonne réponse serait la une...


Et autre question, c'est quoi en fait l'amorçage affectif ?

ben il y aurait tjs des traits centraux
imagineons qu'iil n'y ait plus que la dimension de sociabilité
comme bien expliqué dans le bouquin, le terme "chaleureux/froid" sera toujours plus central que "poli/bourru"

latitelili a écrit:

non je suis pas sur, c'est juste se qui est donne comme reponses ds le questionnaire que j'ai.

pour la 8 j'arrive pas a trouver la quelle va le mieux, jvais espere quelle tombe pas a lexam

G trouvé sur le net

"De la même façon, nous entendons souvent dire : "le client qui paie le moins est celui qui se plaint le plus", "tous les bons partis sont pris", "à chaque fois que je lave ma voiture, il pleut dans l'heure", "c'est toujours quand on a besoin de la voiture d'urgence que celle-ci refuse de démarrer", "lorsqu'on est pressé, tous les feux sont rouges", "les prévisions météos sont toujours fausses", "c'est toujours quand on n'a plus qu'une page à photocopier qu'il n'y a plus de papier dans la photocopieuse", etc.

Cette tendance de l'esprit à exagérer la fréquence des liens entre les événements en présence, les chercheurs l'ont appelé "corrélation illusoire" (Chapman, 1967)."

donc je mettrais la 1!
Car on est plus marqués par ce qui se passe rarement, oon s'en souvient + facilement et donc on exagère le lien réel entre les 2 evenements.
Qu'en pensez vous?

Sawadee a écrit:

latitelili a écrit:

non je suis pas sur, c'est juste se qui est donne comme reponses ds le questionnaire que j'ai.

pour la 8 j'arrive pas a trouver la quelle va le mieux, jvais espere quelle tombe pas a lexam

G trouvé sur le net

"De la même façon, nous entendons souvent dire : "le client qui paie le moins est celui qui se plaint le plus", "tous les bons partis sont pris", "à chaque fois que je lave ma voiture, il pleut dans l'heure", "c'est toujours quand on a besoin de la voiture d'urgence que celle-ci refuse de démarrer", "lorsqu'on est pressé, tous les feux sont rouges", "les prévisions météos sont toujours fausses", "c'est toujours quand on n'a plus qu'une page à photocopier qu'il n'y a plus de papier dans la photocopieuse", etc.

Cette tendance de l'esprit à exagérer la fréquence des liens entre les événements en présence, les chercheurs l'ont appelé "corrélation illusoire" (Chapman, 1967)."

donc je mettrais la 1!
Car on est plus marqués par ce qui se passe rarement, oon s'en souvient + facilement et donc on exagère le lien réel entre les 2 evenements.
Qu'en pensez vous?

Oui, je suis d'accord, j'ai trouvé un autre texte sur le net qui dit ceci :

Au demeurant, selon la position de Hamilton et Gifford (1976), l'illusion de correlation est consideree comme le produit d'un encodage et d'un repechage differencie en memoire des evenements saillants. De plus, les auteurs invoquent le concept de l'heuristique de disponibilite pour expliquer le lien postule entre la memoire et le jugement errone de correlation. Ce lien theorique est derive de l'hypothese de disponibilite de Tversky et Kahneman (1973) selon laquelle la frequence de la combinaison de stimuli rares ou saillants est surestimee parce que ces stimuli sont initialement atypiques, donc frappants, et en consequence, ils viennent a l'esprit plus facilement au moment de leur recouvrement en memoire. Ces pieces d'informations qui supportent l'illusion sont par consequent presumees comme etant plus facilement rememorees au moment ou le jugement de correlation est effectue.

Oui, je suis d'accord, j'ai trouvé un autre texte sur le net qui dit ceci :

Au demeurant, selon la position de Hamilton et Gifford (1976), l'illusion de correlation est consideree comme le produit d'un encodage et d'un repechage differencie en memoire des evenements saillants. De plus, les auteurs invoquent le concept de l'heuristique de disponibilite pour expliquer le lien postule entre la memoire et le jugement errone de correlation. Ce lien theorique est derive de l'hypothese de disponibilite de Tversky et Kahneman (1973) selon laquelle la frequence de la combinaison de stimuli rares ou saillants est surestimee parce que ces stimuli sont initialement atypiques, donc frappants, et en consequence, ils viennent a l'esprit plus facilement au moment de leur recouvrement en memoire. Ces pieces d'informations qui supportent l'illusion sont par consequent presumees comme etant plus facilement rememorees au moment ou le jugement de correlation est effectue.[/quote]

Cfr question 23 bien sûr... (rép 1 d'après moi)

Sawadee a écrit:

ben il y aurait tjs des traits centraux
imagineons qu'iil n'y ait plus que la dimension de sociabilité
comme bien expliqué dans le bouquin, le terme "chaleureux/froid" sera toujours plus central que "poli/bourru"

Je suis d'accord... Ca serait donc la 3 pour moi mais aucune certitude !

Quelqu'un saurait me dire ce qu'il a répondu à la question 5 ?

J'aurai rép la 2 aussi !

Dine a écrit:

Quelqu'un saurait me dire ce qu'il a répondu à la question 5 ?

J'ai répondu 2 à la question 5

Dans les trois infos de Kelley pour expliquer un comportement :

- Un observateur de la situation se sert + du consensus pour expliquer un comportement (est-ce qu'il y a d'autres personnes qui agissent aussi ainsi face à cet objet?)
- Une personne qui est actrice de la situation, par contre, utilise + la distingabilité pour expliquer son comportement (est-ce que j'agis aussi ainsi face à d'autres objets?)

Merci beaucoup !

bien le bonsoir
quelqu'un pourrait il m'eclairer sur l'effet solo dans la catégorisation initial??
mercimerci
et bon courage

mela a écrit:

bien le bonsoir
quelqu'un pourrait il m'eclairer sur l'effet solo dans la catégorisation initial??
mercimerci
et bon courage

c'est une des raisons pour lesquelles on met qqn dans telle ou telle catégorie.
L'effet solo, c'est par exemple quand tu vois une fille au milieu d'une classe d'ingénieurs, elle a beaucoup de chance d'être catégorisée en fonction de son sexe et pas en tant qu'ingénieur.
Solo : elle est la seule fille et il y a une saillance perceptive --> le fait qu'elle soit une fille est une caractéristique saillante par rapport au reste

merci beaucoup

Dites... pr la 2, aurais mit la 1 moi (la similitude est un critère de réaité car se sont des éléments physiques ou des comportements )

Et pr la 3 juste Devine... (vois pas ou Tajfel parle de ca...)

Heeeeeeeelp

J'ai une petite question... Qqn peut me dire où est-ce qu'on parle dans le livre de Beauvois et Dubois? Je les trouve pas

cha12 a écrit:

Dites... pr la 2, aurais mit la 1 moi (la similitude est un critère de réaité car se sont des éléments physiques ou des comportements )

Et pr la 3 juste Devine... (vois pas ou Tajfel parle de ca...)

Heeeeeeeelp

Pour la trois, tout dépend si le prof considère que l'incapacité de Tajfel a trouver une condition ou on ne favoriserait pas l'endogroupe signifie qu'il y a stéréotypisation.

Beauvois et Dubois, je penses que c'est la page 40 du livre

cha12 a écrit:

Dites... pr la 2, aurais mit la 1 moi (la similitude est un critère de réaité car se sont des éléments physiques ou des comportements )

Et pr la 3 juste Devine... (vois pas ou Tajfel parle de ca...)

Heeeeeeeelp

Pour la 2, ce n'est pas forcément des similitudes réelles qui te font faire des catégories.

Et pour la 3, Tajfel dit qu'on recherche une identité sociale positive, on cherche à différencier positivement notre endogroupe par rapport aux autres et on accentue les différences entre les groupes.

Nallou a écrit:

Y a un index à la fin :

Beauvois : 40, 139, 135, 142
Dubois : 40

Ah oui, j'ai pas pensé à l'index Merci

pour moi pour la 2 c le terme de reele qui pose probleme si ça avait ete de realite je pense que ça aurait ete juste pfff difficile qd mm

moi g une question pout la 15 quelqu'un pourrait m'expliquer pourquoi c la reponse 2 j ne comprend pas pourquoi ce n'est pas la 3 ... :s

parce que justement les acteurs font plus svt d'attributions externes vu qu'ils expliquent leurs comportements par des attributions situationnelles et non dispositionnelles comme les observateurs !

Dite pour la 10 j'aurai plutôt mis la 2 nn ? vous en pensez quoi ?

Non tu peux pas mettre 2 parce que tu peux aussi bien te comparer à quelqu'un de supérieur etc (ça dépend de l'estime de soi).

Et la réponse 3 ça m'a fait hésiter hier mais la formulation dit bien "rejete l'idée essayer de si situer par rapport à des critères objectifs", or on essaye d'abord de faire ça, puis si on trouve pas on passe dans le subjectif... au final reste que la 1

ok d'accord merci ! et personne ne sait alors ce qu'est en fait l'amorçage affectif (mise en parallèle avec les techniques de conditionnement) ?

le conditionnement classique : on présente d abord le stimulus neutre puis le stimulus inconditionnel
l amorcage affectif : on présent un stimulus "affectif" (par exemple, une photo positive : des mariés ou une photo négative : des serpents) et PUIS on te demande de juger un itme neutre.

pr la question 6 pq est ce que ca n est pas la réponse 1 ?