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 Neuropsychologie clinique

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julie
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MessageSujet: Re: Neuropsychologie clinique   Neuropsychologie clinique - Page 6 Icon_minitimeJeu 10 Jan 2008 - 18:10

Mon problème c'est que même lorsque j'arrive au bout j'ai l'impression de ne rien connaitre et d'être incapable de répondre aux questions
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Ellie
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Ellie


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MessageSujet: Re: Neuropsychologie clinique   Neuropsychologie clinique - Page 6 Icon_minitimeJeu 10 Jan 2008 - 18:11

Ce qui est vache, c'est qu'on ne sait pas jusqu'à quel niveau de profondeur il faut aller. Je me pose sans cesse la question : "et ça, j'essaie de retenir ou pas ?"... Je sais bien que je serai capable de reconnaître les réponses, mais de là à les produire en réponse ouverte pffff !
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salameche
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MessageSujet: Re: Neuropsychologie clinique   Neuropsychologie clinique - Page 6 Icon_minitimeJeu 10 Jan 2008 - 18:13

VIVE LES QCM
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Ams
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MessageSujet: Re: Neuropsychologie clinique   Neuropsychologie clinique - Page 6 Icon_minitimeJeu 10 Jan 2008 - 18:19

Moi les questions ouvertes ne me font pas spécialement peur, c'est surtout le VF moi qui me stresse... Comme je disais à une amie, si c'est un VF à la Adélaide, no stress, ms si c un VF hyper poussé ds les détails et justement sur le pti truc que tu t'es dit "ho ça c pas important" ben je suis tt à fait ds la merde... Sad
Comment veut il qu'on etudie 75 pages de résumé ds les détails...???
C trop l'abus...
Enfin courage a tous, moi ça me démoralise...
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MessageSujet: Re: Neuropsychologie clinique   Neuropsychologie clinique - Page 6 Icon_minitimeJeu 10 Jan 2008 - 18:19

Pour les questions ouvertes, Meulemans n'est pas du genre à demander des détails qui tuent. Il veut des réponses synthétiques, qui montre que vous savez de quoi vous parlez. Il déteste qu'on lui retape la moitié du cours sur les agnosies avec le shéma complet et explicatif d'Humphreys et Riddoch pour répondre à une question genre "Distinguez achromatopsie et achromatognosie".

Répondez "simplement" aux questions de façon claire et sans mettre d'âneries, sans non plu s'étendre sur un autre sujet qui n'a plus rien à voir avec la question et vous aurez vos points. Aussi, si vous utilisez un terme technique comme "calepin visuo-spatial", mettez simplement une parenthèse sur ce que c'est, si toutefois le calepin visuo-spatial n'est pas au centre de la question, bien évidemment.
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MessageSujet: Re: Neuropsychologie clinique   Neuropsychologie clinique - Page 6 Icon_minitimeJeu 10 Jan 2008 - 19:23

Quel est le paradigme dont il est question dans l'examen de août 2007 pour évaluer l'alerte phasique ?
Est-ce le fait qu'on compare le temps de réaction avec et sans signal ?
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tiju
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MessageSujet: Re: Neuropsychologie clinique   Neuropsychologie clinique - Page 6 Icon_minitimeJeu 10 Jan 2008 - 19:24

faut voir l'avantage du vrai/faux sur le QCM... on n'aura que deux possibilités de réponses, et donc une chance sur deux de perdre un demi point si on répond mal... tandis qu'avec le QCM, on avait 4 possibilités de se tromper, et de perdre un demi point...

voyons le côté positif des choses Laughing Neuropsychologie clinique - Page 6 66
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Ellie
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MessageSujet: Re: Neuropsychologie clinique   Neuropsychologie clinique - Page 6 Icon_minitimeJeu 10 Jan 2008 - 19:31

Que répondriez-vous à la question 2 examen juin 2007 ?
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MessageSujet: Re: Neuropsychologie clinique   Neuropsychologie clinique - Page 6 Icon_minitimeJeu 10 Jan 2008 - 19:33

Ellie a écrit:
Quel est le paradigme dont il est question dans l'examen de août 2007 pour évaluer l'alerte phasique ?
Est-ce le fait qu'on compare le temps de réaction avec et sans signal ?

Pour évaluer l'alerte phasique, on utilise une tâche dans laquelle un signal avertisseur précède l'apparition du stimulus cible. Chez un sujet normal, on constate qu'il réagira plus rapidement au stimulus cible si le signal avertisseur apparait 500 ms avant que s'il apparait 0 ms ou 1000 ms avant le stimulus cible et ce parce que à 0 ms, le sujet est toujours entrain de traiter le signal avertisseur et à 1000 ms, le signal avertisseur perd son effet.

Bien entendu, le temps de réaction avec signal avertisseur est généralement plus court que sans signal avertisseur, d'où l'intérêt de faire passer la même tâche sans signal avertisseur (alerte tonique) pour comparer les résultats.
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Ams
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MessageSujet: Re: Neuropsychologie clinique   Neuropsychologie clinique - Page 6 Icon_minitimeJeu 10 Jan 2008 - 19:34

Pck pr les tests de simulation, on essaie de reperer le plus de simulateurs possibles, tandis que pr Al, on prefere inclure des sujets non déments ds les malades que d'en oublier ds les non déments...
Je sais po si c clair...
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tiju
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MessageSujet: Re: Neuropsychologie clinique   Neuropsychologie clinique - Page 6 Icon_minitimeJeu 10 Jan 2008 - 19:35

ben que ds le cas de la détection de simulateurs il faut une spécificité de 100% pr ne pas avoir de faux négatifs, tant pis s'il y a des faux positifs. mais que dans le diagnostic d'alzheimer c'est l'inverse pcq c est la sensibilité qui doit être de 100% pour détecter les personnes malades car là c'est la sensibilité qui concerne la détection de ts les malades...

enfin c est ce que j'ai compris bounce
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Ellie
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MessageSujet: Re: Neuropsychologie clinique   Neuropsychologie clinique - Page 6 Icon_minitimeJeu 10 Jan 2008 - 19:35

Comment se fait-il que les traumatisés crâniens présentent souvent le syndrôme des traumatisés crâniens qui se manifeste notamment par des troubles dysexécutifs ? Je veux dire : tous les TC ne subissent pas une atteinte frontale, si ? Donc, ça veut dire que les troubles dysexécutifs peuvent provenir de lésions ailleurs, c'est bien ça ? Et des lésions où alors ?
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sroe
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MessageSujet: Re: Neuropsychologie clinique   Neuropsychologie clinique - Page 6 Icon_minitimeJeu 10 Jan 2008 - 19:37

sur le cercle un questionnaire v/f vient d'être déposé,
impossible de l'ouvrir,
quelqu'un (qui aurait réussi à l'ouvrir) pourrait le ramener ici, siouplé ?
siouplé ?
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MessageSujet: Re: Neuropsychologie clinique   Neuropsychologie clinique - Page 6 Icon_minitimeJeu 10 Jan 2008 - 19:42

Ellie a écrit:
Comment se fait-il que les traumatisés crâniens présentent souvent le syndrôme des traumatisés crâniens qui se manifeste notamment par des troubles dysexécutifs ? Je veux dire : tous les TC ne subissent pas une atteinte frontale, si ? Donc, ça veut dire que les troubles dysexécutifs peuvent provenir de lésions ailleurs, c'est bien ça ? Et des lésions où alors ?

Le syndrome des traumatisé crânien SERAIT (c'est un point qui est débatu) d'origine psychogène et non anatomique ou physiologique. Donc il peuvent présenter des troubles dysexécutifs mais d'origine psychologique (une fatigue, des prob de coordination etc.)

Maintenant, du point de vue anatomique (mais là on sort du cadre du syndrome des TC), il faut savoir que les régions frontales sont reliées à beaucoup d'autres régions cérébrales. Ainsi, il est tout a fait possible qu'une lésion temporale provoque indirectement des troubles dysexécutifs.
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Ellie
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MessageSujet: Re: Neuropsychologie clinique   Neuropsychologie clinique - Page 6 Icon_minitimeJeu 10 Jan 2008 - 19:44

Ams et Tiju, je pensais plutôt que pour les simulateurs, il fallait une spécificité de 100 pourcent pour être sûr de ne pas faire de faux POSITIFS (c'est-à-dire dire à quelqu'un qui n'est pas simulateur qu'il l'est). En effet, il serait grave de dire à quelqu'un qu'il est simulateur alors qu'il ne l'est pas, étant donné qu'après il ne sera alors pas dédommagé.

Ams, quand tu dis "pr Alzheimer, on prefere inclure des sujets non déments ds les malades que d'en oublier ds les déments...", ça me semble juste par contre. En effet, si on dit à qqn qu'il a l'alzheimer alors qu'il ne l'a pas, les test suivants pourront invalider l'hypothèse -> pas trop grave. Par contre, si on ne diagnostique pas quelqu'un qui l'a, c'est grave.

Je me demandais si c'était ce genre de réponse que Meulemans attendait. Qu'en pensez-vous ?
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Ellie
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MessageSujet: Re: Neuropsychologie clinique   Neuropsychologie clinique - Page 6 Icon_minitimeJeu 10 Jan 2008 - 19:46

Merci Benjy...
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Ellie
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MessageSujet: Re: Neuropsychologie clinique   Neuropsychologie clinique - Page 6 Icon_minitimeJeu 10 Jan 2008 - 19:49

Il faut installer openoffice pour pouvoir lire ce fichier, et je n'ai pas ce programme.
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alcawa
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MessageSujet: Re: Neuropsychologie clinique   Neuropsychologie clinique - Page 6 Icon_minitimeJeu 10 Jan 2008 - 20:21

Voici le V/F :

1)la neuro à un double objectif?
2)La neuro psycho cognitive tente de comprendre le fonctionnement de la machinerie cérébrale?
3)L'objectif clinique est l'évaluation et la rééducation
4)3secteurs continuent de faire l'objet de recherche diagnostic: les démences,les troubles développementaux et la sémiologie entre la psychiatrie et la neurologie.
5)Une des retombées de l'approche cognitive: on utilise des groupes de patients
6)on ne doit pas trop tenir compte du besoin professionnel des patients et on doit tout faire pour le rééduquer
7)la connaissance du syndrome suffit pour mettre en place un programme de rééducation personnalisé
8)la neuro psycho est basée essentiellement aujourd'hui sur: la compréhension plus fine des difficultés du patient, une analyse fonctionnelle et la rééducation
9)les programmes de rééducation actuel sont bien fait et le patient sera ainsi toujours motivé à le suivre
10)le neuro psy peut se contenter d'identifier la nature d'un déficit et ne doit pas nécessairement prédire les conséquences sur les activités sociales? Cela, c'est la personne qui s'en charge
11)le déficit est considéré comme un dysfonctionnement d'un mécanisme cognitif
12)le handicap est toujours lié à une incapacité physique de la personne
13)une incapacité est la conséquence d'un manque de motivation d'une personne car si elle le voulait, elle y arriverait
14)quand un patient propose des réponses bizarre à une expertise médico-légale-légale, il vaut mieux s'en méfier et lui lancer des regards suspects
15)un avc ischémique est une interruption de la circulation irriguant le cerveau
16)un avc est surtout présent chez les jeunes qui ont des problèmes de pression artérielle
17)l'étendue de l'aire isshémiée dépend des possibilité de suppléance par les artères avoisinante (phénomène de dilacération)
18)la zone de pénombre ischémique est la zone qui entoure la zone de nécrose
19)une déficit en apport sanguin (avc ischémique)résulte toujours de l'occurrence de l'artère de petit calibre
20)une thrombose est une obstruction complète formé par une plaque d'athérome (dépôt graisseux)
21)les avc sont de modèles de corrélations anatomo-clinique qui démontre parfaitement et dans tout les cas la localisation de la lésion
22)si une lésion est bien localisée, d'autre région plus éloignées peuvent âtre atteintent aussi car elles sont interconectées(diaschisis)
23)grâce aux irm et aux pet scan, la sémiologie clinique est devenue stable
24)les infarctus de petites tailles (les lacunes) occasionnent aussi des dysfonctionnement important(langage, praxie...)
25) les lacunes résultent de l'occlusion de petites artères siégeant dans la substance blanche, les noyaux gris et le thalamus
26)l'accumulation de lacunes entraîne toujours une démence vasculaire
27)les avc hémorragiques sont 2x plus nombreux que les avc ischémiques
28)les ruptures d'anévrismes sont 1 des causes des avc hémorragiques
29)il existe 3 types d'avc hémorragique: intra cérébrales, méningé et extra dural
30)l'hyper tension artérielle entraîne chez la personne âgée des micro anévrismes
31)une hémorragie gauche entraîne des troubles du langage, une apraxie ou un coma et la mort si l'hématome causé par celle ci est trop volumineux
32)la symptomatologie d'une hémorragie méningée est une céphalée brutale, des vomissements et des troubles de la vigilance
33)le 'syndrome méningé' montre à l'examen une raideur de la nuque
34)une ponction lombaire ou un scanner permet de diagnostiquer une hémorragie méningée
35)les TC constitue la moins fréquente des affection du système nerveux
36)il faut parfois secouer les enfants, cela leur remet les idées en place (syndrome de l'enfant secoué)
37)une dilacération(déchirure des tissus organiques) apparaît au point d'impact après une mise en mouvement brutale du cerveau
38)si quelques heures après qu'une voiture nous soit rentré dedans, des maux de tête commencent ainsi qu'un mal de nuque, c'est normal, cela résulte du choc émotionnel vécu
39)une fracture du crane est toujours un élément de sévérité
40)le 'whishplash' est une figure de style bien connue en concours de plongeon(les garçon l'utilisent souvent pour faire rire les filles)
41)les TC sont de deux ordres: fermé ou ouvert
42)les TC ouvert sont de trois types
43)le paroi osseuse se brise et déchire un vaisseau sous jacent dans les TC et forme un hématome extradural et sous dural(HSD)
44)une trépanation d'urgence est nécessaire lors d'une embarrure
45)une hémorragie extra dural à lieu entre la dure mère et l'os du à une rupture de l'artère méningée moyenne
46)une hémorragie extra dural est souvent bénigne et le sang peut s'écouler de toute façon par la paroi osseuse ouverte
47)un hématome sous dural (HSD) peut se réveiller dans les jours qui suivent le TC
48)un HSD chronique (ex: personne agées) peut entraîner une modification comportementale
49)un syndrome démentiel isolé peut résulter d'une hémorragie extra dural
50)l'être humain sait se défendre il n'y a pas vmt de risque d'infection lors d'une brèche osseuse
51)plus l'amnésie post traumatique est longue et plus le patient récupère d'un coma. En effet, il aura pu plus se reposer
52)l'APT permet au patient de dire à ses proches ce qu'il pense réellement d'eux
53)on a répertorié des patients qui développaient des crises d'épilepsies suite à une phase aiguë d'un TC
54)le 'syndrome du traumatisé crânien' est controversé car il ne se réfère pas à un signe objectivable de troubles organiques
55)les troubles du à un TC sont unique ment des difficultés cognitives, les problèmes comportementaux et émotionnel sont le plus souvent le résultats de simulateur
56)une minorité de TC entraînent des troubles comportementaux
57)la profondeur du coma, l'age du patient, la durée du coma et l'amnésie post traumatique détermine la gravité du TC
58)l'échelle de glasgow mesure efficacement la durée du coma selon des critères de réponses spontanées à des simulations visuel,moteur et verbal
59)le domaine moteur est celui qui est le plus conséquent dans la mesure de l'échelle de glasgow
60)il est inutile d'administrer une échelle de glasgow trop tot. En effet, le patient est déjà bien fatigué et il faut le laisser se reposer
61)le coma est une altération de la conscience la plus sévère
62)il y a dans l'état de conscience végétatif un retour des cycle veil-sommeil
63)l'état de conscience minimal n'est en fait que vraiment minimal
64)l'avantage de l'échelle de glasgow est qu'elle est particulièrement homogène
65)un score > 13 à l'échelle de glasgow renvoie toujours à un TC léger
66)un score >9 et <13 renvoie toujours à un TC modéré
67)un score <8 est toujours un TC grave
68)le 'locked-in' permet au patient de pouvoir communiquer en faisant de clins d'oeil
69)une amnésie post traumatique peut être rétrograde et antérograde simultanément
70)la mesure de l'APT est un indicateur fiable de la sévérité de la lésion
71)l'age de la personne n'influence pas la durée du coma
72)la démence est une altération acquise de la mémoire, des fonctions instrumentales et du jugement
73)il existe clairement deux divisions de démence: les corticales et les sous corticales
74)un état confusionnel ou un syndrome dépressif peut causer un diagnostic de démence
75)le MMSE est très sensible et suffit à diagnostiquer la démence, même pour le diagnostic pré cosse
76)les difficultés de mémoires épisodique caractérisent la maladie d'alzheimer
77)l'évolution de la maladie d'alzheimer est rapide et explosive
78)cette maladie fait suite à la formation de plaques séniles et de dégénérescence neuro fibulaire
79)ceste l'hippocampe qui est principalement touché par le début d'alzheimer
80)la démence sémantique est la désintégration progressive du stock sémantique
81)la démence à corps de Lévy est facilement distinguable de la maladie d'alzheimer
82)4 des démences dégénératives sont: la maladie d'alzheimer, démence sémantique,démence fronto-temporale, démence à corps de Lévy
83)une symptomatologie de type dysexecutif à des signes neurologique extra pyramidaux (tremblement, rigidité...) sont caractéristique de démence sous corticales
84)la maladie de parkinson est tardive et s'exprime surtout par un mode parieto-temporal
85)une démence mixte est un patient qui a la maladie d'alzheimer et de parkinson
86)une crise d'épilepsie naît d'une population de neurones qui créent une activité paroxystique anormale
87)une crise d'épilepsie généralisée peut généré une crise partielle
88)les crises généralisées 'grand mal' concernent les grandes personnes et les crises 'petit mal' les tout petits
89)la médication prolongées des épileptiques ne cause plus trop de troubles de la mémoires, du jugement et de l'affectivité
90)la première étape du bilan est de déterminé les aptitudes cognitives intacte et déficientes du patient
91)l'anamnèse est crucial car elle permet de mieux connaître le patient et de déjà faire quelques observations à son sujet
92)l'anamnèse est parfois suffisante aux diagnostic
93)la localisation et l'étendue des lésions orientent le choix du test utilisé par le neuro car il est convenu qu une lésion spécifique entraîne un trouble spécifique
94)les échelles de détérioration renvoie à des troubles spécifiques
95)il est important de tester les différentes fonctions cognitives lord d'un test de base
96)le neuro doit veiller à inclure dans le bilan de base une évaluation du niveau d'efficience intellectuelle pré-morbide
97)un bon bilan de base suffit généralement à la perspective de rééducation
98)lors d'un bilan de base, les facteurs émotionnel et motivationnel sont toujours à prendre en compte
99)les questions auto-révélées sont très efficaces car le patient à toujours consciences de son état et de ses difficultés
100)dans la liste de contrôle( check list), le patient coche les déficiences et leurs contexte d'apparition
101)dans la cas de litige, le neuro tente à objectiver des séquelles cognitives ou l'importance d'un handicap suite à un accident
102)on demande aux neuro de distinguer les séquelles psychologiques de séquelles organiques
103)l'état émotionnel du patient ne joue pas lors des expertise? En effet, il est souvent habitué à passer des examens et n'est donc pas très stressé
104)les difficultés de mémoires lié à un syndrome dépressif sont prisent en compte dans le cas d'une expertise
105)tout les étudiants diplômé en psychologie peuvent se présenter comme spécialiste en expertise
106)il est demandé à un expert de dresser le bilan du patient et de le conseiller sur un plan thérapeutique
107)une tendance exacerbée à l'auto observation est souvent perçue lors d'un bilan réalisé longtemps après la lésion
108)une lésion crée souvent un sentiment paranoïaque et les experts ne comprennent pas encore pourquoi
109)les batteries de test plus fines peuvent renforcer l'idée que le neuro se faisait lors du bilan de base
110)grâce à la recherche scientifique, le problème de norme des données est résolu, les test étant maintenant traduit en plusieurs langues
111)dans beaucoup de cas d'expertises, le patient simule des problèmes qu(il n'a pas dans sa vie courante
112)les tricheurs n'ont pas le droits à une compensation, si on pense qu'un patient simule il faut lui dire de suite
113)un test de simulation est nécessaire lorsqu'il y a une différence entre le niveau d'activité quotidien et les données obtenues aux épreuves cognitives
114)si les déficit ne sont pas compatibles avec les lésions cérébrales, on doit faire confiance au patient et ne pas penser qu'il simule. En effet, tout n'a pas encore été démontré et un test de simulation pourrait le vexer
115)le jugement simple du clinicien est inefficace pour détecter les simulateurs
116) la sensibilité est la capacité à détecté un maximum de simulateurs
117)la spécificité est la capacité à détecter seulement les simulateurs
118)un score cut off est un bon élément pour calculer la ligne de base
119)les simulateurs ont un taux élevé d'échec aux matrice de raven
120)un empan mnésique inférieur à 4 relève souvent d'une tendance à la simulation
121)le test des portes est particulièrement sensible
122)les indices calculés à partir des mesures standard prédisent efficacement les simulateurs
123)le test des 15 mots de rey est le plus utilisé malgré un sensibilité faible
124)les symptôme validité test sont basés sur les paradigmes de reconnaissances à choix forcés
125)un problème majeur des symptomes validity test est de déterminé le score cut off
126)il y a une phase distractrice de comptage à rebours dans les test de reconnaissance de chiffres de portland
127)l'amsterdam short memory test est un test de mémoire verbale à choix forcé dont le niveau de hasard est moins transparent que les test classiques
128)les patient sévères aiment bien l'ASTM car souvent il réussissent bien à ce test
129)si un patient alz. est pris en charge tot, ses capacités cognitives seront préservées plus longtemps
130)en imagerie, on arrive à diagnostiquer 70 % de patient alz.
131)Il existe deux taches qui permettent de comparer le rappel libre et le rappel indicé
132)la comparaison rappel libre/rappel indicé est basé sur le principe de spécificité d'encodage
133)le rappel indicé peut mettre en évidence un problème lié à l'encodage et à la récupération
134)l'effet plafond pose problème dans l'élaboration de test plus sensible et plus spécifiques
135)dans la tache des 64 items, on test la spécificité à l'encodage
136)les nouveaux outils d'évaluations permettent de mieux comprendre les déficit fonctionnels et sont pertinents sur le plan théoriques

Je l'ai également posté en format WORD sur le site de Pascal.
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MessageSujet: Re: Neuropsychologie clinique   Neuropsychologie clinique - Page 6 Icon_minitimeJeu 10 Jan 2008 - 20:26

Merci pour le V-F !!!
Reste plus qu'à le faire !

J'ai (encore !) une question : les Alzheimer ont, apparemment, un problème d'administrateur central, donc, de SAS. Mais alors, pourquoi l'indiçade ne les aide-t-il pas (puisqu'en général, les problèmes de SAS entraînent difficultés de récupération stratégique -> aide lorsqu'il y a indiçage) ? Au début, j'étais plutôt amenée à croire que le problème des Alzheimer se situait au niveau de l'encodage puisque l'indiçage ne les aidait pas !

Pourriez-vous m'aider sur ce point important s'il vous plaît ?
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tiju
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tiju


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MessageSujet: Re: Neuropsychologie clinique   Neuropsychologie clinique - Page 6 Icon_minitimeJeu 10 Jan 2008 - 20:32

qd je dis que pr la simulation il faut une spécificité de 100 c est qu on doit détectert tous les vrais patients, mais comme ta sensibilité diminue tu dois t'attendr à ce que des simulateurs se glissent ds tes vrais patients, l'expert ne peut pas prendre le risque de passer à côté des vrais patients... mais les assurances, elles, préfèrent une sensibilité de 100% capable de reprérer tous les simulateurs, et tant pis si des faux négatifs (des vrais patients qui ne simulent pas ) sont dedans, mais ça on ne peut pas!!!

tandis que pr diagnostiquer alzheimer, ici, comme amandine a dit, c est qu'on préfère aussi ne pas passer à coté des sujets malades réellement, tant pis si on a des non malades ds les malades... donc sensibilité de 100% car ici la sensibilité détecte la démence

Le cas des épreuves de détection de la simulation est particulier dans la mesure où la « pathologie » est ici le comportement de simulation, et où ce sont les « vrais » patients q’il faut éviter de diagnostiquer !!!!

j'espère que c'est plus clair bounce
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sroe
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MessageSujet: Re: Neuropsychologie clinique   Neuropsychologie clinique - Page 6 Icon_minitimeJeu 10 Jan 2008 - 20:33

très grand merci Alcawa
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lore
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MessageSujet: Re: Neuropsychologie clinique   Neuropsychologie clinique - Page 6 Icon_minitimeJeu 10 Jan 2008 - 20:36

ben ellie je pense que tu as repondu toi meme a ta quesion Wink ....
ils ont des problemes de recuperation de la startegie, donc en recuperaion libre pas top les resultats....(un individu normal fai kan mm 16 sur 16) mais l'indice ne les aide pas parceque justement le probleme est au niveau de l'encodage et pas de stockage. certain ne sont pas dutout encode donc donne des indice e va pas laider.
pour les autres ils ont des probleme de stockage vu que avec lindisage ca les aide dnc parfois cest bien stocker parfois pas....
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jeffo
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MessageSujet: Re: Neuropsychologie clinique   Neuropsychologie clinique - Page 6 Icon_minitimeJeu 10 Jan 2008 - 21:08

oooppsss...désolé pour le format open office...du vrai/ faux
je vien de les mettre aussi en word

que ça soit bien clair, ce ne sont pas des qst du prof mais bien des trucs que j'ai fait moi meme.....
pour les autres chapitres, ben...je m'y met....
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Ellie
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MessageSujet: Re: Neuropsychologie clinique   Neuropsychologie clinique - Page 6 Icon_minitimeJeu 10 Jan 2008 - 21:30

Je comprends maintenant ce que tu as voulu dire, tiju !

Pour revenir à l'alzheimer, si je te comprends bien, Lore, les patients alzheimer :

-ont des problèmes de récupération stratégique (problème SAS) -> problème dans le rapel libre

-et ont en plus un problème à l'encodage -> les indices ne servent à rien puisque l'info n'est même pas stockée.

Il me semble qu'ici, il aurait été plus judicieux dans le syllabus de directement parler de problème d'encodage puisque dès lors que celui-ci n'a pas lieu, il n'y a pas de stockage, et il ne peut donc pas y avoir de problème de récupération stratégique puisque la récupération, quelle que soit sa forme, ne peut pas exister...

Dites-moi ce que vous en pensez...
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sroe
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MessageSujet: Re: Neuropsychologie clinique   Neuropsychologie clinique - Page 6 Icon_minitimeJeu 10 Jan 2008 - 21:49

BRAVO JEFFOFOUILLE
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MessageSujet: Re: Neuropsychologie clinique   Neuropsychologie clinique - Page 6 Icon_minitime

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